bien que tu avais apporté un parapluie avec toi, tu fus soulagé quand tu entras dans le bâtiment, refermant ton parapluie avec précaution et évitant le plus possible de mettre de l’eau partout.
tu n’avais pas prévu d’aller ici aujourd’hui. mais il semblerait que ton subconscient n’avait pas pu s’empêcher de guider tes pas jusqu’à cet endroit. jusqu’à elle. tu connaissais l’emplacement de son dernier lieu de repos à la perfection. tu ne comptais même plus le nombre de fois où tu te rendais ici.
les gens disaient qu’avec le temps, la douleur s’atténuait, mais pourtant, le pincement au coeur que tu ressentait à chaque fois que tes yeux se posait sur son petit boîtier était toujours aussi vif.
elle n’avait pas sa place ici. elle n’était pas censée être parmi tous ces morts. et tu ne pensais pas ça juste parce que tu aurais souhaité qu’elle soit toujours vivante, mais également parce que la voir entourée d’inconnus et réduite à un simple boîtier te rendait fou.
tu y avais pensé pourtant. la garder avec toi. entreposer son corps dans un de tes laboratoires. là où personne ne pourrait aller la voir. mais la décision n’avait pas pu être tienne. tu avais dû laisser ta famille faire des funérailles.
tes doigts effleurèrent légèrement son nom. c’était le seul contact que tu pouvais avoir dorénavant. et cela te brisait le cœur.
tu baissas la tête, cachant les larmes qui coulaient le long de tes joues et mordant tes lèvres pour ne pas éclater en sanglot.
tu n’avais pas prévu d’aller ici aujourd’hui. mais il semblerait que ton subconscient n’avait pas pu s’empêcher de guider tes pas jusqu’à cet endroit. jusqu’à elle. tu connaissais l’emplacement de son dernier lieu de repos à la perfection. tu ne comptais même plus le nombre de fois où tu te rendais ici.
les gens disaient qu’avec le temps, la douleur s’atténuait, mais pourtant, le pincement au coeur que tu ressentait à chaque fois que tes yeux se posait sur son petit boîtier était toujours aussi vif.
elle n’avait pas sa place ici. elle n’était pas censée être parmi tous ces morts. et tu ne pensais pas ça juste parce que tu aurais souhaité qu’elle soit toujours vivante, mais également parce que la voir entourée d’inconnus et réduite à un simple boîtier te rendait fou.
tu y avais pensé pourtant. la garder avec toi. entreposer son corps dans un de tes laboratoires. là où personne ne pourrait aller la voir. mais la décision n’avait pas pu être tienne. tu avais dû laisser ta famille faire des funérailles.
tes doigts effleurèrent légèrement son nom. c’était le seul contact que tu pouvais avoir dorénavant. et cela te brisait le cœur.
tu baissas la tête, cachant les larmes qui coulaient le long de tes joues et mordant tes lèvres pour ne pas éclater en sanglot.