Ciel
l'archétype du beau-fils parfait ♡ ultra boyfriend material ♡ aime beaucoup faire plaisir aux gens ♡ hyper dévoué, trop dévoué ♡ est encore chez papa et maman quand bien même il aimerait beaucoup avoir sa liberté, mais on ne le laisse pas faire ♡ un peu ... fatigué de toujours sauver les apparences pour ses parents ♡ très concerné par la misère du monde ♡ donne beaucoup de son argent, de sa personne, de son temps pour les autres ♡ s'épuise autant au travail que dans sa vie ♡ n'a quasiment plus aucune vie sociale depuis la fin de ses études ♡ ne s'est jamais avoué à lui même qu'il était au moins autant attiré par les hommes que par les femmes - concrètement tout le monde le sait sauf lui ♡ a un petit cabriolet, il le voulait rouge mais au soleil il fait quand même vachement rose pétasse, lui il dit qu'il est couleur cerise.
♡ capacité à développer un réseau
♡ courtoisie, savoir vivre
♡ sait organiser les rencontres
♡ sait gérer les délais
♡ a un sourire à tomber :)
- engagé à 23 ans à plein temps en tant que secrétaire (il visait un poste plus haut mais c'est mieux que rien)
il s'était réveillé.
ciel était un privilégié, de ceux qui vivent dans le luxe, le bonheur, la joie et l'argent. ciel avait une famille aimante, ciel était heureux. ciel avait tout pour l'être, et il se devait de rendre à ses parents tout ce qu'ils lui avaient donné. il se devait de le rendre fier.
on l'avait élevé comme un prince ;
le dos droit, le visage souriant,
la main tendue vers son prochain.
d'être parfait.
bien sûr, tout s'était écroulé, lorsque son petit frère avait disparu. tout s'était écroulé lorsque la famille avait été brisée par son retour, le cœur brisé d'une mère qui retrouve son bébé détruit. ciel aimait mirai, il aimait son frère comme les anges aiment les hommes. il veillait sur lui, et s'assurait que tout allait bien. il était censé aller le chercher au collège, ce jour là, le jour où mirai avait disparu. il s'en voulait, tous les jours.
mirai était vivant, mais mirai était revenu changé.
ciel avait dû garder la tête haute. papa et maman ne voulaient pas le voir partir ; imaginez qu'il lui arrive quelque chose ! qu'ils disaient. une bonne excuse pour garder le prodige à la maison, pour surtout ne pas l'éloigner. il était hors de question de perdre ciel, de tirer un trait sur l'héritier.
il devait rester enfermé.
