très bruyant ✿ tout viens à point à qui sait attendre ✿on est jamais mieux servit que par les autres ✿ égoïste mais laisse souvent passer Chercher en premier ✿ couteau derrière le dos, sourire sur sa gueule d’ange ✿ passé pour plus jaune que ce qu’il n’est ✿ c’est un sale rat ✿ rire particulier ✿ humour particulier ✿ “jvais tout dire à Chercher” ✿ le premier à fuir ✿ se faufile partout ✿ souple ✿ inspecteur gadget ✿ capable de fabriquer divers truc ✿ intelligent lorsqu’il s’agit de ses hobbies ✿ a du mal à se rappeler des prénoms ou des visages des gens ✿ retient les tics, manies et petits détails à la place ✿ Pikachu face lorsqu’un truc tourne mal ✿ u can’t sit w/ us ft Chercher ✿ extraverti ✿ pas vraiment capable de garder un secret
Le nouveau saint, le héros oublié. On t’a accordé plus de pensées parce que lui a fini par habiter plus loin. Jeune, tu n’oses simplement émettre son nom. Il est ((encore)) dans ses pensées, son mode, sa violence qui parfois déchire sa bouche. Toi, jeune, tu le crains, tu l’admires. Toi, jeune, tu finis par succomber à ses passions. Toi, tu te mets à aimer ce que lui peut effectuer ((sans savoir s’il aime réellement son métier)). Et alors que la modernité s’installe, le ferait bientôt antiquité, tu le vois continuer sa vie. Toi, tu restes avec elle, mère, reine du dernier royaume.
Tu as grandis sans être à l’écart des autres ((très tôt tu sais te faire aimer)). Tu as grandis bercé par ta mère devenant forte, les mots chuchotés à ton oreille pour qu’un jour tu le sois toi aussi. Tu as grandis avec les mirages de Chercher, tes doigts devenant aussi habile que lui ((que le souvenir de lui travaillant)). Tu fini par devenir doué pour voler ((quelques attentions)), pour subtiliser les affaires de tes camarades lorsque, encore, les serrures existent, lorsque le dieu technologie n’est venu mettre en déroute les habitudes, les clefs cachées comme des mensonges dévoilés ((les erreurs, les bugs démons modernes, mauvaises pensées)).
Elle l’a sans doute remarqué. Elle a sans doute vu, toi, les mécanismes de ton esprit et encore les gadgets. Sans doute, si elle t’avait faire, la voie aurait bifurqué ((les bombes fabriquées)). Elle l’avait sans doute prédit, mère à l’œil te gardant ((du danger)). Et sans doute, tu sais, qu’elle doit avoir eu les visions de toi ((te mourant, enterrant la brève naïveté)) à présent, des activités dans lequel tu entraînes ton général, la personne à servir, à qui plaire. Alors, elle s’est décidée à te voir étudier à la capitale. Alors, elle t’a envoyé là ou ton avenir pourrait ((être gâché)) survivre.
Alors, tu as été envoyé à ses côtés. Lui, changé ou bien encore toi ((changé)), tu arrives à y desceller les défauts que tu ne savais voir. Et lui, encore, ne sachant s’y prendre. Et lui, encore, finalement, le cœur fragile, une relation établie, stabilité. Et toi, impatient, toi, tu finis par t’enfuir : lui causer tes premiers ennuis. Lui, jamais ne réagit, lui, toujours piégé dans un autre monde. Le nouveau tuteur, le nouveau roi n’en dit mot. Toi, tu caches la chose : jamais tu n’iras là ou tu étais destiné allé. Toi, jamais tu ne commenças les études qu’on t’avait assignées. Même cela ne réussit à faire flancher le nouvel aimé. La déception te tend les bras, mais encore cette folie même un jour, de renverser l’ainé. Mots ne furent soufflés aux autorités, la mère n’en demandé pas nouvelles ((elle sans doute déjà au bras d’un baron pour se retrouver)). Et toi, enfin, tu finis par pouvoir aider Chercher.
Il n’y eu pas d’autres conversation sur la situation : toi, tu prenais les coups de fils, toi, tu aidais encore à déverrouiller des portes fermées, les cambriolés ((les mauvaises rues, les mauvais quartiers)). Tu fabriques encore des mécanismes, des sortes d’objets sans réelle attention, des brins de ton intelligence comme si tu avais besoin d’extérioriser. Sans doute, pourrais-tu être plus dangereux ((lame affûtée)), sans doute encore la candeur que tu dis détester est restée enfouie au fond de ta poitrine ((enfermée)). Et déjà les mauvaises fréquentations pour tout envoyer valser. Tu ne sais pas trop comment ça a commencé. Chercher, encore, jamais touché. Toi, tu t’enfonces dangereusement dans ce qui pourrait lui coûter sa vie, ce qui pourrait encore lui arracher un sourire. Tu te demandes si toi, tu ne pourrais pas l’emporter, lui, avec toi.
Et dans la rébellion, tu attends peut-être l’unique chance de faire de Chercher quelqu’un que tu pourrais sonder. Quelqu’un de plus humains, au moins dans tes souvenirs, au moins, dans le reflet de la personne que tu l’imagines être.